Il tourne une page et se lance dans le polar. L’écrivain anglo-soudanais Jamal Mahjoub s’est même trouvé un pseudonyme : Parker Bilal. S’il est en train d’écrire son sixième polar d’une série noire publiée en Angleterre le tout premier volet, « Les écailles d’or », vient de paraître en France aux éditions du Seuil (janvier 2015).
Une critique de la société égyptienne
Dans ce roman policier, qu’il est venu présenter sur le salon du livre du festival Interpol’art de Reims les 10 et 11 octobre 2015, l’écrivain reprend sa plume pour dépeindre et dénoncer la politique, la société égyptienne.
« Les écailles d’or » : Parker Bilal traduit par Gérard de Chergé, Editions Seuil policiers, 432 pages, 22,50€.
Festival Interpol’art: jusqu’au 31 octobre 2015 à Reims et autour. Exposition « 1945-2015 : la Série noire fête ses 70 ans » jusqu’au 25 octobre 2015 au Cellier, rue de Mars, 51100 Reims.
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